samedi 24 novembre 2007

Je est un autiste

20 novembre

vrille tractée aux airs d’enfant
s’envêtemant des centations
vivifiction des mnémographes
égotrillons des pluriscèses.
ô varices truculemment
disposées au seuil des scipions,
érigez les sardanagraphes
au lieu de résonner l’ivrèse.
Ne pas geindre ! Éviter sciemment
les penchées sursubstantations,
et véraciter l’irisée échappée circonspecte automatique et voulue

circulaire aux alentours

accessoire.

J’ai rien à dire.

8 commentaires:

Anonyme a dit…

Bof... Celui d'avant était mieux. Ca, c'est un peu gratuit.

Anonyme a dit…

Gratuit donc indispensable et essentiel!
La purpaline follaison des étoiles du chrysogomphe te ravicelle alivressement...:)

Jilian Essandre a dit…

Jordi> je suis bien d'accord, je suis très fier du dernier et celui-ci est bof, car comme toujours les octosyllabes chez moi c'était d'un jet d'un seul... mais cassandre insista pour que je postasse, alors comme mon blog fait un peu vide ces temps-ci... =)

Shifted a dit…

Je me gonasse bien les ésocelles en arpengeant cette accrosité \o/

(J'essaye, moi aussi! C'est rigolo)

Jilian Essandre a dit…

Ah oui tiens vous en faites des bien aussi ^^ (J'aime bien arpenger ^^)

Anonyme a dit…

Connasse.

Ah non, ça existe déjà...

Anonyme a dit…

Sinon je sais pourquoi le poème est tout pourri. C'est parce qu'y'a deux fois le suffixe -graphe. C'est pour ça. C'est pour ça. C'est pour ça. C'est pour ça. C'est pour ça. C'est pour ça.

Anonyme a dit…

Je rêve d'avoir une majuscule à mon pseudo. Je voudrais la forcer. Le E majuscule, c'est magnifique. C'est trois bites à la fois. Deux grosses et une pequeña, c'est sensationnel colonel El Colon.

Moi je veux mourir sur scène, au milieu d'abricots.

Quand tu suces un noyau d'abricot, je sais pas si t'as remarqué, mais c'est comme quand tu lèches le palais d'un chat. Sans les anneaux cartilagineux par contre. Ça fait vraiment de félins frissons gutturaux. Sauf que le noyau y gémit pas. Ça a des avantages et des inconvénients.